« J’ai achété une occasion que je trouve sous-motorisée. Je souhaite la remotoriser par un hors-bord de 300 chevaux, là où le constructeur impose une puissance maximale de 250 chevaux. Le concessionnaire est d’accord pour réaliser le changement de moteur, mais il souhaite que je signe un document le déchargeant de toute responsabilité. Quels sont les risques juridiques d’une telle opération (en cas de sinistre, de tiers impliqué en cas d’accident, etc.) ? »
Jean Béraud, La Trinité-sur-Mer (56))
Juridique la surmotorisation